mercredi 20 avril 2011

Cerveaux pipés

C'est quand même bluffant cette prédominance du 7. Et si c'était un signe ? Qu'en penserait un numérologue ?

Issu de http://www.zetetique.fr/divers/NecessiteDuHasard.pdf

mardi 19 avril 2011

Vivre en monnaie de singe

T’inquiètes, c’est moi qui paie! Pendant tout le mois d’avril, il vous sera possible de payer votre déjeuner (dans les restaurants canadiens bien évidemment), grâce aux billets du Monopoly!
A lire sur http://www.edouardborie.com/2011/04/18/mc-donalds-se-la-joue-cah-avec-monopoly/

On me dit dans l'oreillette que la prime de 1000 Euros sera payée en billets de Monopoly. Chaque salarié touchera donc 254.869 $. A nous la "rue de la Paix" !!

mercredi 13 avril 2011

Elles sont cuitas les bananas !!!


http://blog.gaborit-d.com/sculptures-sur-bananes/

J'ai réfléchi à comment présenter cette idée mais je n'ai pas vraiment de mot

et au cas où la référence du titre vous manquerait: Big Up Philippe Risoli


Cuitas les bananas philippe risoli par jejelapince

je suis pourtant persuadé d'avoir vu un live un jour...

jeudi 7 avril 2011

Le chant des sirènes (le 1er mercredi du mois)


Un petit rappel (ou une grosse découverte) de ce qu'il faut faire si vous entendez chanter les sirènes hormis à midi le premier mercredi de chaque mois (en croisant les doigts pour qu'il n'arrive pas de catastrophe précisément à ce moment-là...).

Le réseau national d'alerte (RNA), constitué d'environ 4 500 sirènes, a pour but d'alerter la population en cas de danger immédiat. Les sirènes émettent alors un signal composé de trois séquences d'une minute 41 secondes, séparées par un silence de cinq secondes.
Les essais de sirènes du réseau national d'alerte se déroulent le premier mercredi de chaque mois, à midi.
Les systèmes d'alerte
Sirènes : pour quoi faire ?
Ce réseau, hérité de la seconde guerre mondiale, conçu au départ pour alerter les populations d'une menace aérienne (bombardement classique ou nucléaire), peut être utilisé pour faire face à la montée des risques technologiques ou naturels sans pour autant méconnaître les menaces militaires ou terroristes.
Lors d'un accident majeur ou d'une grande catastrophe (nuage toxique, accident nucléaire...), les sirènes du RNA permettent, de jour comme de nuit, d'attirer rapidement l'attention des populations pour qu'elles prennent les mesures de sauvegarde appropriées.
L'alerte des populations au moyen des sirènes peut être complétée par d'autres dispositifs comme par exemple, les sirènes ou haut-parleurs montées sur des véhicules, très utiles dans les zones rurales ou isolées.

Comment reconnaître le signal ?
La France a défini un signal unique au plan national (décret du 11 mai 1990). Il se compose d'un son modulé, montant et descendant, de trois séquences d'une minute séparées par un silence de cinq secondes. Il ne peut donc pas être confondu avec le signal d'essai d'une minute seulement, diffusé à midi le premier mercredi de chaque mois ou avec les déclenchements brefs utilisés par certaines communes pour l'appel des pompiers. La fin de l'alerte est annoncée par un signal continu de 30 secondes.

Ce qu'il faut faire
La mise à l'abri est la protection immédiate la plus efficace. Elle permet d'attendre dans les meilleures conditions possibles l'arrivée des secours.

Au signal, il faut :
- rejoindre sans délai un local clos, de préférence sans fenêtre, en bouchant si possible soigneusement les ouvertures (fentes, portes, aérations, cheminées…).
- Arrêter climatisation, chauffage et ventilation.
- Se mettre à l'écoute de la radio : France Inter, France Info ou des radios locales.

Ce qu'il ne faut pas faire
- rester dans un véhicule.
- Aller chercher ses enfants à l'école (les enseignants se chargent de leur sécurité).
- Téléphoner (les réseaux doivent rester disponibles pour les secours).
- Rester près des vitres.
- Ouvrir les fenêtres pour savoir ce qui se passe dehors.
- Allumer une quelconque flamme (risque d'explosion).
- Quitter l'abri sans consigne des autorités.
La sécurité est l'affaire de chacun, il est normal de s'y préparer.
L'alerte est destinée à prévenir de l'imminence d'une situation mettant en jeu la sécurité de la population et permet de prendre immédiatement les mesures de protection.
Elle peut être donnée pour signaler un nuage toxique ou explosif, un risque radioactif, une menace d'agression aérienne, certains risques naturels.

Une seule source d'information : la radio

Mettez-vous immédiatement à l'écoute de France Inter ou de France Info. C'est par ce moyen que vous recevrez les informations sur la nature du risque, ainsi que les premières consignes. Le cas échéant, ces informations seront également diffusées sur les radios locales.


http://www.interieur.gouv.fr/sections/a_votre_service/votre_securite/en-dehors-du-domicile/sirenes







lundi 4 avril 2011

Le syndrome de Paris

Le syndrome de Paris (パリ症候群, Pari shōkōgun?) toucherait plus particulièrement les touristes japonais qui, ayant une vision idéalisée de la ville — le Montparnasse des Années folles ou le Paris d’Amélie Poulain — sont très déçus par la réalité et déstabilisés par le fossé culturel existant entre la France et le Japon.
Le terme « syndrome de Paris » se trouve dans un ouvrage paru en 1991 et écrit par le Docteur Hiroaki Ōta (太田 博昭, Hiroaki Ōta?), psychiatre du centre hospitalier Sainte-Anne à Paris. Il y analysait le trop fort décalage entre l’image que se font les Japonais de la France et la réalité. Les magazines japonais consacrés à Paris idéaliseraient la capitale. Le docteur Ōta est le premier à avoir ouvert une consultation spécialisée pour les Japonais, et cela depuis 1989.
Le comportement et le langage démonstratifs des Français sont parmi les éléments les plus insupportables aux yeux des Japonais. Exprimer ouvertement son point de vue, interrompre son interlocuteur, être en désaccord et le faire savoir sont des attitudes contraires à l’éthique japonaise. Les femmes sont les plus touchées et supportent mal l’attitude trop latine de certains Français. Le syndrome peut aller dans de rares cas jusqu’à l’hospitalisation et le rapatriement.
De 1988 à 2004, 63 patients ont été hospitalisés dans le service du docteur Ōta : 29 hommes et 34 femmes, la moitié entre 20 et 30 ans. Après un traitement d'une durée moyenne de deux semaines, tous ont été rapatriés, de préférence avec un membre de leur famille. Sur ces 63 patients, 48 présentaient des troubles schizophréniques ou psychotiques, 15 présentaient des troubles de l'humeur.
Eriko Thibierge-Nasu, psychanalyste explique que « la revendication et la subjectivité sont vécues comme des agressions par les Japonais. Extérioriser un avis, dire ouvertement « je ne suis pas d’accord », c’est quelque chose qu’ils ne comprennent pas ». Philippe Adam, auteur du Syndrome de Paris, affirme qu’on « rend assez mal aux Japonais l’affection qu’ils portent pour la France ». Sa nouvelle a fait l’objet d’une adaptation au cinéma par la réalisatrice japonaise Saé Shimaï (島井 佐枝, Shimai Sae?) en 2008.


Issu de http://fr.wikipedia.org/wiki/Syndrome_du_voyageur#Syndrome_de_Paris
A lire également http://www.lefigaro.fr/france/20060624.FIG000000652_le_spleen_des_japonais_a_paris.html