" ... Femme, qui dira lait à une autre femme, s'il est preuvé par témoignage de deux hommes ou de deux femmes, elle payera cinq solz, au seigneur quatre solz, au mayeur six deniers, et celle à laquelle elle aura dit lait six deniers. Et selle (si elle) ne veut payer l'argent, elle portera la pierre le dimanche à la procession en peure sa chemise (en pure chemise)."
==> J'aime beaucoup le fait que le seigneur qui n'est pas concerné outre mesure se ramasse 5 sols (soient 60 deniers) alors que la personne insultée n'en récupère que 6 :-)
Ah ! Qu'il faisait bon vivre à cette époque, surtout quand on était Seigneur ! Par contre ce qui m'étonne c'est que Mulhouse était une république à part. L'existence d'un Seigneur m'intrigue... A moins que, parmi les autres mots qui se sont modernisés, ils aient voulu parler de 'saigneur' -donc du boucher ?!!
" ... Femme, qui dira lait à une autre femme, s'il est preuvé par témoignage de deux hommes ou de deux femmes, elle payera cinq solz, au seigneur quatre solz, au mayeur six deniers, et celle à laquelle elle aura dit lait six deniers. Et selle (si elle) ne veut payer l'argent, elle portera la pierre le dimanche à la procession en peure sa chemise (en pure chemise)."
RépondreSupprimer==> J'aime beaucoup le fait que le seigneur qui n'est pas concerné outre mesure se ramasse 5 sols (soient 60 deniers) alors que la personne insultée n'en récupère que 6 :-)
Ah ! Qu'il faisait bon vivre à cette époque, surtout quand on était Seigneur !
RépondreSupprimerPar contre ce qui m'étonne c'est que Mulhouse était une république à part. L'existence d'un Seigneur m'intrigue... A moins que, parmi les autres mots qui se sont modernisés, ils aient voulu parler de 'saigneur' -donc du boucher ?!!